Victime du chômage ? De la peine à nouer les deux bouts ? En délicatesse avec votre banque ? Factures de dentiste en souffrance ? La solution ne passe plus par le petit crédit à 15 % l’an. Il y a bien mieux et l’on peut même en faire métier: la dénonciation de ses voisins fumeurs ! Au vu de son haut rendement, on peut même pratiquer cette activité à temps partiel. Aucun investissement n’est nécessaire. Suffit d’une pincée de bonne conscience citoyenne et vous voilà déjà auxiliaires des forces de police et artisan de la restauration de l’ordre et de la santé publique. Pour l’instant, le système ne fonctionne qu’en Suède mais quelques signes précurseurs, comme vous allez le voir, sont déjà perceptibles en Suisse…
Un conseil pour les délateurs-débutants: repérer d’abord ceux des locataires qui ont le front de s’en griller une sur leur balcon, au risque d’exhaler de la « fumée passive létale » dans les narines de tous les habitants du quartier. Passer ensuite à la phase de l’observation à la jumelle puis humer les portes palières pour détecter les effluves suspects. A CHF 718.- par voisin fumeur dénoncé, cette activité peut se révéler rentable très rapidement.
Lu dans le 20 Minutes du 14 janv. 2011…
Signes précurseurs incitant en Suisse à dénoncer ses voisins fumeurs. Le document est signé CIPRET et ASLOCA
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